"la notion de rusticité " lorsque j'étais à l'armée, j'avais un chef, que l'on appelait gentiment Boeuf... hors ce chef, était un para dans l'âme et dans le coeur, et quand je dit ça , c'est que pour lui , un para se devait toujours montrer l'exemple et être rustique, pour cela très régulièrement les footing se faisaient en treillis rangers, moyenne 15 km, mais pendant ces 15 bornes, tous ce que l'on rencontrait était un petit plus du parcours, un tas de bois, était démonter, les bûches assez longues étaient portées à bout de bras en binômes pendant 300 à 500 m , les lac ou étangs, devenaient des piscines naturelles, une rivière de montagne était traversée en hiver avec de l'eau à mi-taille, les fossés aux bords des routes, étaient de longs couloirs ou nous devions rampé, en passant par les buses rencontrées etc...et cerise sur le gâteau 1 fois par moi environ été comme hiver, nous avions droits au parcours du combattant semi-aquatique, c'est à dire tout ce que je viens de vous citer avec en plus tyrolienne, pont de singe , saut de puce , close-combat etc...tout cela pour développer, notre goût pour l'endurance, la souffrance et enfin la rusticité et grâce à ce traitement de choc, nous n'étions jamais malade, nous avions une pêche du tonnerre, nous savions adapter notre endurance sur le terrain, géré notre faim et notre sommeil...parceque nous étions rustique, dans notre corps et dans notre tête ...