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Auteur Sujet: Comment vivre longtemps...  (Lu 14512 fois)

04 août 2009 à 22:35:55
Réponse #50

Humain


La satisfaction sexuelle de la femme est probablement un concept très récent.
je ne sais si dans le passé il est arrivé qu'on lui reconnaisse la même légitimité que celle des hommes. Aujourd'hui dans beaucoup de cultures, la sexualité de la femme est niée, voir réprimée. Et  même dans la notre, elle est souvent l'objet de malentendus et d'idées reçus (tout comme celle des hommes dans une cerrtaine mesure àmha).
si la polygamie etait autorisé, au niveau sexuel il va de soit ( selon moi ) que seul la femme peut combler ses hommes sexuelement ..
Disons que c'est globalement vrai (à mon avis), mais qu'il existe toujours une grande variabilité d'un individu à l'autre, d'un moment de la vie à un autre.


http://www.medecines-douces.com/impatient/hs24/femme.htm



04 août 2009 à 23:13:21
Réponse #51

Anke


Comment vivre longtemps ? Ou bien : Pourquoi vivre longtemps ?
Nombre de vieillards dont je m'occupe en ont marre de vivre, z'en nont vu assez, ils sont fatigués, n'ont plus envie. Quelques uns ont eu une vie bien remplie pourtant...
Je me suis fixé des objectifs simples, j'ai encore des envies ( voir le désert, faire un coup de chameau, aller au Canada, faire une rando à canasson) que je pense simples. C'est pas évident que ça dure toujours. Vivre longtemps pour quoi faire ? Sans envies, sans amour, sans "l'autre", ça n'a pas d'intérêt, en tous cas, pas pour moi. Vivre longtemps c'est vieillir, certains ne le supportent pas, parce que vieillir, c'est pour eux la décrépitude, la faillite. Apprendre à viellir, c'est comme apprendre à marcher, ça se prépare. Quand on est gosse on passe pas immédiatement de l'état de reptation à la marche, on commence par faire du "quatre pattes" puis à se prendre quelques "gamelles" avec les genoux couronnés. Quand on vieillit, c'est pareil mais c'est plus chiant, la moindre chute se termine par un col du fémur en miettes, et ça c'est pas la joie. Vivre longtemps, ça veut dire qu'un jour ou l'autre on va finir par se pisser dessus, baver et être très préoccupé par son transit intestinal( si y'a pas de caca tous les jours, c'est la panique !). Inutile de faire l'ignorant, on le sait tous sauf qu'on veut pas le voir ou le reconnaitre. Si on commence à envisager tout ça on se prépare à ne pas trop "mal" vieillir et donc "maitriser" un peu le machin, compenser, déterminer les objectifs principaux, l'objectif principal étant d'être heureux. Vivre longtemps, ça veut dire aussi "perdre" ceux que l'on aime, son épouse, voire ses enfants. Vivre longtemps, ça veut dire suivre les corbillards des potes morts avant soi.
Vivre longtemps ? Bof... Déjà, quand je commencerais à me poser ce genre de question, je pense que "ça" sera mal engagé. Alors peut être que vivre déjà aujourd'hui, sans trop se faire de mouron sur l'hypothétique demain et en faisant en sorte de ne pas avoir de regrets sur "l'hier", c'est déjà pas si mal.
Vivre longtemps, pour moi ça veut dire "attendre" et quand on attend, on est immobile. L'attente paralyse, c'est pas la mort, c'est juste la non-vie. Voilà, c'est juste ma "tambouille " à moi hein...

05 août 2009 à 08:58:43
Réponse #52

Bison


"Les vieux" ... (J. Brel)

Mais on peut tempérer hein!

Mes beaux parents on vécu longtemps (80+), sans ennuis de santé ...
Vieillesse heureuse, entourés de leurs petits enfants, sans aucune dépendance.
Ma belle-mère est entrée à l'hosto un lundi, suite à des troubles cardiaques, et le vendredi, c'était fini pour elle ...
Mon beau-père conduisait encore sa voiture quand il a été frappé par un caillot de sang au cerveau ...
Un enfant qu'a pas une paire de bottes, une canne à pêche et un lance-pierre, c'est pas un vrai. (A. Gavalda)

05 août 2009 à 11:18:31
Réponse #53

French Kiss


"realiser que les emotions et les sentiments qui regissent l'integralite du regne humain depuis son apparition n'ont guere change"
Depuis que l'homo-sapiens est capable de se faire des noeuds au cerveau avec ses emotions et ses sentiments, tu crois que ceux-ci ont beaucoup change (la haine, la compassion, l'amour, la colere, la jalousie, etc... et tous les ressorts qui les provoquent)? je ne parle pas vraiment de comportement social, je parle surtout de tout ce qui nous agite les petites glandes hormonales et les cortex de notre cerveau, tout ce qui nous conduit a nous sentir heureux ou malheureux au sens large.

"cela, peut permettre de vivre plus longtemps en bonne harmonie avec soi-meme (sinon pourquoi vivre longtemps?), c'est important de pouvoir rever mais il ne faut pas faire de ses reves des illusions."

Je precise donc: avoir des reves qui permettent d'avoir envie de continuer a vivre, d'avoir des aspirations positive qui se placent dans un cadre ou l'objectivite domine c'est tres bien, avoir des aspirations ou l'illusion domine, en obliterant la realite, c'est souvent transformer ces reves en lubies, et faire de son chemin de vie, un chemin de souffrance ou aucun de ces reves ne peut se realiser.

Je crois aussi que dans nos societes occidentales, nous apprenons de moins en moins a savourer la vie et a etre heureux, tout semble acquis, notre societe de consommation est en mesure de combler nos desirs avant meme que nous y pensions, la vraie mort est proscrite, mais pour ne pas trop que ca se voit, on peut trucider tout ce qu'on veut en jeu video et etre abreuver de sang et de malheur via le tube cathodique (ou la dalle au plasma si vous etes moderne...).
"En cas de morsure de vipère, sucez-vous le genou, ça fait marrer les écureuils." extrait de l'Almanach de Desproges

05 août 2009 à 11:53:28
Réponse #54

Humain


Citation de: French Kiss link=topic=16368.msg257282#msg257282 [quote
date=1249463911]
"realiser que les emotions et les sentiments qui regissent l'integralite du regne humain depuis son apparition n'ont guere change"
Depuis que l'homo-sapiens est capable de se faire des noeuds au cerveau avec ses emotions et ses sentiments, tu crois que ceux-ci ont beaucoup change (la haine, la compassion, l'amour, la colere, la jalousie, etc... et tous les ressorts qui les provoquent)? je ne parle pas vraiment de comportement social, je parle surtout de tout ce qui nous agite les petites glandes hormonales et les cortex de notre cerveau, tout ce qui nous conduit a nous sentir heureux ou malheureux au sens large.
Encore faut-il savoir differencier les émotions d'origines sociales, des émotions d'origines hormonales, sachant que les deux origines doivent sèrieusement se méler pour compliquer encore plus les choses.


Citer
"cela, peut permettre de vivre plus longtemps en bonne harmonie avec soi-meme (sinon pourquoi vivre longtemps?), c'est important de pouvoir rever mais il ne faut pas faire de ses reves des illusions."

Je precise donc: avoir des reves qui permettent d'avoir envie de continuer a vivre, d'avoir des aspirations positive qui se placent dans un cadre ou l'objectivite domine c'est tres bien, avoir des aspirations ou l'illusion domine, en obliterant la realite, c'est souvent transformer ces reves en lubies, et faire de son chemin de vie, un chemin de souffrance ou aucun de ces reves ne peut se realiser.
+1


Citer
Je crois aussi que dans nos societes occidentales, nous apprenons de moins en moins a savourer la vie et a etre heureux, tout semble acquis, notre societe de consommation est en mesure de combler nos desirs avant meme que nous y pensions, la vraie mort est proscrite, mais pour ne pas trop que ca se voit, on peut trucider tout ce qu'on veut en jeu video et etre abreuver de sang et de malheur via le tube cathodique (ou la dalle au plasma si vous etes moderne...).
C'est vrai pour eux qui ont les moyens de s'acheter le superflu. Pour les autres, ils doivent choisir entre une frustration perpétuelle ou justement, apprendre à apprecier ce qu'ils ont sans baver sur ce qu'ils n'ont pas.

J'ai l'impression qu'on n'a pas une relation très saine avec la mort. Elle est comme une maladie honteuse dont il ne faut pas parler. Quand elle touche quelqu'un qui ne meurt pas de vieillesse (mais qui a le "droit" de mourir de vieillesse aujourd'hui?), il faut forcèment un coupable, un fautif. On oublie parfois un peu trop vite que vivre c'est prendre le risque de mourir, parfois de manière "injuste".
Et paradoxalement on joue avec nos vies et celles des autres avec une désinvolture incroyable. Rouler sans respecter les règles les plus élémentaires de la prudence, manger des frites tous les deux jours, etc.

05 août 2009 à 12:37:41
Réponse #55

Anke


Je cotois la mort tous les jours, celle des autres, du coup, j'ai tendance à me croire "immortel" ( "syndrome de la blouse blanche" que j'appelle ça). Sauf que l'an passé, j'ai failli "y passer", du coup, ça m'a recalé un brin...
Le superflu, le pognon ? Qu'est-ce que j'en ai a foutre ? Y'en a ? C'est tant mieux, y'en a pas c'est tant mieux aussi !  Inutile de perdre mon temps avec des envies que je ne peux satisfaire. Cibler ses besoins fondamentaux : avoir chaud au cul quand ça caille, avoir de quoi ne pas avoir faim, être à l'abri quand il mouille, déjà ça c'est bien, le reste c'est pour le "fun". Si je veux un truc, ben je retrousse mes manches et je transpire. C'est pas compliqué. Inutile de se prendre le chou avec des rêves irréalisables : je ne serais jamais premier violon au conservatoire de musique de Paris ( je suis trop "cake" pour lire la musiqie, pourtant j'ai 30 ans de guitare sous les doigts, mais à l'inverse je chante "Rosie" de Cabrel à Mme Anke et ça c'est "top" !).
Avoir des envies pour continuer à vivre ? Eh bé non, c'est le contraire ( pour moi) : continuer à vivre pour avoir des envies. Je n'aurai pas assez d'une vie pour dire à mon aimée et mes gosses combien je les aime...
Tiens un exemple : j'aurais aimé être danseur. A 52 balais faut pas rêver, c'est cuit ! Tant pis, pas grave, je me suis inscrit à l'asso de ma cadette pour "faire le cambouis" et l'accessoiriste pour les représentations de sa compagnie de danse. Elles sont 20 gamines entre 26 et 14 ans, ça m'éclate, j'ai 20 filles dont il faut que je m'occupe ! ça passe par aller cherhcer de l'eau pendant les spectacles pour qu'elles n'aient pas soif, au rangement du matos (éclairage et scène etc...), prendre soin d'elles... J'ai un peu le rôle du "veilleur de service" : "Titi, ou qu'il est mon drapeau ? T'inquiètes, il est là... Ouf, merci ! De rien ma Chérie...."
Bonheurs, sourires, chaleurs... ça me remplit le coeur et puis elles sont toutes si belles quand elles dansent...
J'ai eu une bonne vie, je peux mourir demain, c'est pas grave... Vivre longtemps, je m'en tape. Ce que je veux c'est remplir au "mieux" chaque instant....

05 août 2009 à 13:21:30
Réponse #56

Chris-C


Citer
Vivre longtemps ? Bof... Déjà, quand je commencerais à me poser ce genre de question, je pense que "ça" sera mal engagé.

Il y a plusieurs façon de se positionner par apport à ça.
Moi perso j'ai envie de vivre longtemps, voir un max de lever et de coucher de soleil, voir l'évolution du
monde.... donc dans ce sens je fais en sorte d'avoir une vie saine pour que ça se passe le mieux possible.
Aprés bien sûr faut pas en faire une fixation et se concentrer sur l'instant présent pour "rien" râté.

Mon voisin, il a 70ans, il est complètement foutu, mal partout, plus de dents, il voit mal, il entend rien...
bref il est liquide, toujours à ronchonner, aprés mes chiens, le soleil, la pluie, le vent, il est seul comme un gros con dans sa caravane pourrie.... je discute avec lui, il a eu une vie de m*rde, jamais de vacances, toujours du travail, embrouillé avec toute sa famille.....
Et bien quand je vois mon père à 76ans encore avec son sac à dos à crapahuter la montagne avec ma mère et bien pour moi ça fait un bon exemple de style de vie à suivre.
Et si un jours je suis trop liquide moi aussi pour avoir encore envie de voir le soleil, j'aurais largement prévu de quoi partir en douceur.... mais pour l'instant je vise loin et je profite du présent.....

Parfois on entend dire, "pourquoi tu fais tout ça....tu comptes mourrir en bonne santé"
et bien franchement oui, plutôt que crever dans un lit d'hopital parceque j'aurais été incapable
de prendre soi de moi....

Citer
Vivre longtemps, je m'en tape. Ce que je veux c'est remplir au "mieux" chaque instant....

Je suis d'accord, mais ça empêche pas de vouloir que ça dure non?



05 août 2009 à 15:06:20
Réponse #57

French Kiss


Encore faut-il savoir differencier les émotions d'origines sociales, des émotions d'origines hormonales, sachant que les deux origines doivent sèrieusement se méler pour compliquer encore plus les choses.

Voui certes, enfin ce qui fait la nature des rapports entre humains ou ce qui te titille les hormones vers le haut ou vers le bas, tout cela n'a guere change depuis l'aube de l'homo-sapiens, donc se faire un syndrome de persecution ou un complexe de superiorite... on peut se dire qu'il faut apprendre a s'extraire de sa propre situation pour la comtempler (et c'est un gamin de 40 ans qui me l'a fait comprendre, merci a lui), pour regarder l'histoire de ceux qui sont passe avant pour savoir ou ca mene, et ainsi se recadrer par rapport a la realite pour s'aiguiller vers le bonheur, source de motivation principale pour avoir envie de poursuivre son chemin.

C'est vrai pour eux qui ont les moyens de s'acheter le superflu. Pour les autres, ils doivent choisir entre une frustration perpétuelle ou justement, apprendre à apprecier ce qu'ils ont sans baver sur ce qu'ils n'ont pas.

Absolument, c'est sans doute une grande difference entre les ego-socio-accro-centres et ceusse qui savent prendre du recul ;)

J'ai l'impression qu'on n'a pas une relation très saine avec la mort. Elle est comme une maladie honteuse dont il ne faut pas parler. Quand elle touche quelqu'un qui ne meurt pas de vieillesse (mais qui a le "droit" de mourir de vieillesse aujourd'hui?), il faut forcèment un coupable, un fautif. On oublie parfois un peu trop vite que vivre c'est prendre le risque de mourir, parfois de manière "injuste".
Et paradoxalement on joue avec nos vies et celles des autres avec une désinvolture incroyable. Rouler sans respecter les règles les plus élémentaires de la prudence, manger des frites tous les deux jours, etc.

Certes, enfin il y a une bonne part de destin dans tout ca, juste un exemple: ca peut etre un bus en perte de controle, une nuit ou la fatigue te machonne les reflexes, une meteo merdique sur une route non moins merdique, un arbre ou un poteau farceur... consideres ces elements seuls ou combines,  et tu peux rouler autant que tu veux en respectant scrupuleusement le code, cela n'est pas forcemment suffisant pour retarder le depart... j'ai du mal a evoquer avec acuite mon message, mais je crois que vous voyez ou je veux en venir.


Citation
Vivre longtemps, je m'en tape. Ce que je veux c'est remplir au "mieux" chaque instant....

Je suis d'accord, mais ça empêche pas de vouloir que ça dure non?

+1000
« Modifié: 05 août 2009 à 15:11:53 par French Kiss »
"En cas de morsure de vipère, sucez-vous le genou, ça fait marrer les écureuils." extrait de l'Almanach de Desproges

05 août 2009 à 15:22:21
Réponse #58

Humain


Certes, enfin il y a une bonne part de destin dans tout ca, juste un exemple: ca peut etre un bus en perte de controle, une nuit ou la fatigue te machonne les reflexes, une meteo merdique sur une route non moins merdique, un arbre ou un poteau farceur... consideres ces elements seuls ou combines,  et tu peux rouler autant que tu veux en respectant scrupuleusement le code, cela n'est pas forcemment suffisant pour retarder le depart... j'ai du mal a evoquer avec acuite mon message, mais je crois que vous voyez ou je veux en venir.

Exact  :) le facteur "pas de bol" existe aussi.
Raison de plus pour mettre un maximum de chances de notre côté, pour Vivre tant qu'on le peut en jouissant d'un corps au mieux de sa forme, d'un cerveau qui tourne bien, et de ne pas se laisser emme*der par une pseudo-morale qui n'a d'autre utilité que de maintenir en place un système de pensée d'auto-castration.

11 août 2009 à 18:04:13
Réponse #59

Patrick


la sexualité de la femme est niée, voir réprimée. Et  même dans la notre, elle est souvent l'objet de malentendus et d'idées reçus (tout comme celle des hommes dans une cerrtaine mesure àmha).Disons que c'est globalement vrai (à mon avis), mais qu'il existe toujours une grande variabilité d'un individu à l'autre, d'un moment de la vie à un autre.
Mais qui c'est cette femme dont vous parlez tous. Moi là femme connais pas. Connu quelques femmes toutes différentes à part l'équipement de série.

11 août 2009 à 18:57:24
Réponse #60

gahús


Mais qui c'est cette femme dont vous parlez tous. Moi là femme connais pas. Connu quelques femmes toutes différentes à part l'équipement de série.

Et encore, l'équipement de série n'est pas le même ; du bonnet A au bonnet E, par exemple.
Je mérite le bonnet d'âne...

11 août 2009 à 19:17:55
Réponse #61

French Kiss


Avec ce genre de propos sortis de leur contexte initial, ca sent le Patounet qui veut titiller de l'Humain  ;D

Pour repondre un peu quand meme au propos repris ci-dessus, je trouve qu'en France les femmes ont bien profite des combats du MLF en terme de reconnaissance de leur personne, qu'on parle de sexualite ou d'autre chose. Au final reconnaitre l'autre dans son entierete et dans ses besoins, homme ou femme, ca apporte enormement au sein d'un couple, mais ca demande beaucoup d'observation, d'acceptation et de discussion (ce dernier point n'etant pas forcemment notre point fort cote masculin...)
"En cas de morsure de vipère, sucez-vous le genou, ça fait marrer les écureuils." extrait de l'Almanach de Desproges

11 août 2009 à 19:52:07
Réponse #62

cacahouete_ch


Vivre longtemps, mais à quoi bon !
A quoi bon prolonger la vie de 5, 10, voire 20 ans, après on meurt et ça fait quoi de plus une fois qu’on est mort d’avoir vécu x années de plus ? heureuses ou malheureuses ?
Comment fonctionne le calcul ?
Je me sens plutôt dans l’aquoibonisme dans ce genre de topic, quel peut être le sens d’un drive sur le prolongement d’une existence…… ???

Vivre c’est surfer sur sa propre mort en permanence, nous sommes des surfeurs, nous cherchons la vague.. ???!!!!
Je rejoins les propos de nombreux autres posts sur l’aspect de respect du corps et du mental pour , maintenir l'équilibre  de nos facultés afin de prendre la vague, surtout si c’est une bonne.

11 août 2009 à 21:16:21
Réponse #63

Anke


La parabole de la plaquette de chocolat vous connaissez ?
C'est une parabole d'Ours gourmand.

Au début de la plaque, y'en a plein de chocolat mais tu sais pas trop quelle taille elle fait, alors tu te goinfres.
Et puis le temps passe un petit peu, tu te dis, "hum, ça aura bien une fin un de ces quatre !" Alors pas trop sûr de l'avenir ( ou de la quantité de chocolat restante) ben tu savoures chaque carré.
Mais tu continues d'en manger à chaque fois que tu peux, sans pour autant te coller une indigestion ( là tu savoures pas, tu vomis !  :lol:).

Pour moi, essayer de vivre longtemps, ça serait de ne pas manger le chocolat et le mettre de coté pour plus tard... Seulement, pas de bol... Pafff, put**n de camion !
L'Anke il est tout mort avec les poches pleines de chocolat ...

 


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Bienveillance, n.f. : disposition affective d'une volonté qui vise le bien et le bonheur d'autrui. (Wikipedia).

« [...] ce qui devrait toujours nous éveiller quant à l'obligation de s'adresser à l'autre comme l'on voudrait que l'on s'adresse à nous :
avec bienveillance, curiosité et un appétit pour le dialogue et la réflexion que l'interlocuteur peut susciter. »


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