Nos Partenaires

Stages de survie CEETS

Auteur Sujet: Récit : Une semaine de canot-camping en solo au Québec  (Lu 5493 fois)

31 août 2010 à 04:28:09
Lu 5493 fois

Douinie


Du 19 au 24 août dernier, j’ai fait une sortie de canot-camping en solitaire, (accompagnée de mon chien).

J’ai envie de vous raconter ici mon expérience, histoire de partager avec vous mes beaux moments et mes apprentissages, de même que pour recevoir vos précieux conseils, au besoin. Depuis quelques mois maintenant que je lis ce forum et participe à l’occasion, j’avais hâte de partager avec vous mes expériences concrètes sur le terrain.

Je compte vous faire ici un résumé de l’aventure et, dans d’autres fils de discussion, élaborer sur des points précis comme certains éléments du matériel. Comme j’écris assez lentement et que je suis plutôt prolixe (par écrit, en tout cas, alors que je suis plutôt silencieuse en personne), je vais le faire en quelques jours.

Voici donc :

Le projet : 6 jours, 5 nuits, de canot-camping, à la réserve faunique Duchénier, au sud de Rimouski, au Québec. http://www.reserve-duchenier.com/ Je pars seule, comme chaque année, cette fois accompagnée de mon chien pour toute la durée du voyage.

Le back-up : je sais que j’insiste beaucoup sur la sécurité et sur le fait que je suis seule, et nombreux sont ceux d’entre vous qui risquent des aventures beaucoup plus téméraires en solo. Dans mon cas, si la question est si importante, c’est sans doute à cause du nombre de fois que j’entends les gens de mon entourage me dire « tu n’y penses pas? Une fille, seule dans les bois?! ». Alors du coup, je mets toutes les chances de mon côté pour leur prouver que je ne risque (presque) rien.

Cette fois-ci, la voiture reste stationnée au débarcadère de départ, alors que d’habitude, mon conjoint vient me reconduire et repart avec la voiture. J’aurai donc un accès relativement rapide (normalement 1h de canot) à ma « porte de sortie ». De plus, j’ai avec moi mon copain SPOT, le système de localisation personnel par satellite, dont j’ai longuement parlé ici (http://www.davidmanise.com/forum/index.php/topic,3902.msg335782.html#msg335782) . Quand j’aurai le temps, je vous enverrai un exemple de ce que donne la fonction « tracking », pour mon voyage.

Mon chien : une femelle pure bâtarde ;-) du nom de Nouka. Récupérée dans un refuge alors qu’elle avait 5 mois, elle a maintenant près de 2 ans. À mon avis, un mélange de golden retreiver, huskie, labrador, berger allemand… Je l’amène dans les bois depuis que je l’ai, elle est une merveilleuse compagne. Quand j’aurai le temps, j’élaborerai sur les avantages et inconvénients de la vie avec un chien en plein-air, dans la section du forum appropriée. Voici une photo.



Mon matériel : je vais en glisser ici et là des commentaires, mais je compte détailler ce sujet dans un autre fil de discussion.

En passant, quand je vais parler de mon chien, il est très possible que je dise : « mon chien, elle… ». Pas très orthodoxe comme accord grammatical, mais que voulez-vous! Je n’aime pas dire « ma chienne », mais je pense à elle comme la « fille » qu’elle est… Enfin, vous devriez être capables de suivre quand même.
  ;)
Everyone must believe in something. I believe I'll go canoeing - Henry David Thoreau

31 août 2010 à 04:31:48
Réponse #1

Douinie


C’est donc parti!

Jeudi matin, aux petites heures. Le matériel est déjà dans la voiture, le chien sent l’excitation dans l’air. J’enfile mes vêtements de randonnée, me coiffe de mon chapeau, chausse mes « souliers d’eau », enfile ma « ceinture de coureuse des bois », celle où pendent mon couteau de chasse et mon kit de survie. Déjà, ainsi équipée, mon état d’esprit est différent. Ma démarche s’assouplie, je respire plus amplement. Je serai bientôt dans mon élément et mes sens s’y préparent.

J’arrête à une station-service pour faire le plein. Au comptoir, au moment de payer, je me sens déjà étrangère à ce monde qui me jette aux yeux ses publicités aux couleurs criardes, ses journaux aux unes déprimantes. Je m’en vais dans une bulle où je pourrai me convaincre que tout cela ne me concerne plus.

Vingt minutes plus tard, les pneus de ma voiture dérapent légèrement en passant du bitume au chemin de gravier. Dans une dizaine de minutes, je serai sur le bord du lac.

Je gare ma voiture près du chalet dont j’emprunterai l’espace de stationnement pour la semaine. Les employés de la réserve ont laissé là, à mon attention, un canot de location. Hé oui, malgré ma passion pour ce loisir, je n’ai toujours pas de canot à moi, par manque d’argent, et surtout d’espace pour l’entreposer.

Il y a une bonne pente, d’environ 50m de long, avant d’arriver au quai. N’étant pas particulièrement en forme, je n’ose pas porter le canot au-dessus de ma tête. Je le traîne donc par terre jusqu’à l’eau, où l’espace disponible entre le quai et les arbres tout juste de la largeur de l’embarcation… Je peste un peu quand vient le temps de charger mon matériel, l’espace de manœuvre n’étant vraiment pas confortable et les allers-retours à la voiture trop nombreux à mon goût… Je déteste charger le canot, je me dis toujours que j’en ai apporté beaucoup trop! D’autant plus que là, je regarde le tout en me grattant la tête : mais où le chien va-t-il s’installer! Il me semble que sa place, l’année dernière, c’était devant moi, mais là, il n’y a plus de place! Bon, si elle est tranquille, elle devrait pouvoir tenir derrière mon banc.

Enfin, je prends ma place, et aussitôt que je me sens portée par l’eau, toute tension s’évanouit. Je suis sur l’eau.  :love: :love: Je donne un coup de pagaie et l’embarcation fend doucement l’eau. Elle poursuit sur sa lancée pendant quelques instants que je savoure : le plaisir d’avancer silencieusement, tout en douceur, sans la moindre dépense d’énergie, sans le moindre moteur.

Le vent, qui est assez présent, me ramène à des préoccupations immédiates. Je réajuste le cap et vise la pointe d’une île qui me servira de premier azimut vers le site de camping que j’ai choisi. Un bon vent de face me souffle aux oreilles et les vagues ne sont pas à négliger, mais je savoure la maîtrise dont je fais preuve dans le maniement de mon canot. Pendant plusieurs années, je redoutais le vent sur les lacs, mais il y a trois ans, j’ai décidé de prendre ce défi de front et maintenant, je joue avec les sautes d’humeur d’Éole.



La suite bientôt…
Everyone must believe in something. I believe I'll go canoeing - Henry David Thoreau

31 août 2010 à 04:38:21
Réponse #2

Douinie


Everyone must believe in something. I believe I'll go canoeing - Henry David Thoreau

31 août 2010 à 07:07:59
Réponse #3

gmaz87


Quand le débutant est conscient de ses besoins, il finit par être plus intelligent que le sage distrait.»
(Lao Tseu)

L'ennui naquit un jour de l'uniformité

31 août 2010 à 07:43:35
Réponse #4

Norzh


Salut Douinie,
Il est beau ton pays (Nouka aussi).
Encore!

31 août 2010 à 08:11:32
Réponse #5

jeanluc


Salut Douinie,tes photos me rappellent une equipée voici maintenant déjà...18 ans!gentil toutou,l'air sympa :love:

31 août 2010 à 12:18:47
Réponse #6

Campeur


"Posséder les arts de la paix mais non ceux de la guerre, c'est un manque de courage...posséder les arts de la guerre mais non ceux de la paix, c'est un manque de sagesse" Wang Yang Ming (1472 - 1529)

31 août 2010 à 14:27:23
Réponse #7

Outdoorsman


 :yeah: C'est le fun, vivement la suite

Etais-tu sur la rivière Rimousky ?



"On a beau donner à manger au loup, toujours il regarde du coté de la forêt. " Ivan Tourgueniev
"Là où il y a une volonté, il y a un chemin" Edward Whymper
"Dégaine toi du rêve anxieux des bien-assis" Léo Ferré

12 septembre 2010 à 22:37:12
Réponse #8

guillaume



18 septembre 2010 à 01:14:18
Réponse #9

Douinie


Ah! Zut, zut, zut! Il me semblait bien avoir envoyé un message répondant à quelques-unes de vos questions, en attendant que j’écrive la suite, mais il semblerait qu’il y a eu un pépin et que ça a disparu!  :huh:

Bon, alors voici de nouveau :

@jpdelx :  Non, malheureusement, je n’ai pas pensé à prendre de photos de mon canot chargé. D’ailleurs, étrangement, je n’ai pas beaucoup pensé à prendre des photos, malgré les beaux paysages. Je crois que j’étais trop dans l’appréciation du moment présent pour penser à prendre des souvenirs « externes » à ce qui va me rester à l’intérieur.  :love:  :love:

@outdoorsman : Non, je n’étais pas sur la rivière Rimouski. J’étais sur le Lac des Baies et je suis aussi allée au Lac Long 2. J’ai préparé une carte, à partir des relevés de mon SPOT (dont je parle dans ce message), que je vais partager avec vous sous peu.

Et merci à tous pour vos bons commentaires! J’ai hâte d’avoir la tête à écrire la suite. Quand je suis bien immergée dans la vie moderne quotidienne, ça me fait un peu mal de repenser à ces moments de pure harmonie et je trouve ça difficile de m’y replonger, mais en même temps, j’ai vraiment envie de l’écrire. Ça va donc venir…
Everyone must believe in something. I believe I'll go canoeing - Henry David Thoreau

18 septembre 2010 à 02:31:40
Réponse #10

volwest


Salut Douinie.
Je reste patient alors…

On s'est payé un canoë récemment…et je dois dire que l'équation canoë+camping est une situation qui m'est chère, et qui me replonge dans mes nuits d'enfance a lire du Jack London a la lampe de poche.

Mon chien est mort cette année après 15 ans d'amitié, et donc ton témoignage est encore plus spécial a mes yeux...

En attendant la suite…merci du début.

volwest

03 octobre 2010 à 04:22:16
Réponse #11

Douinie


Pour vous permettre de suivre mon récit, et vous donner un exemple de la fonction « tracking » de SPOT, je vous ai préparé une carte Google de mon aventure. En jaune, vous trouverez le trajet du premier jour. Je mettrai les jours suivants plus tard. En cliquant sur un repère, vous pouvez voir l’heure où il a été enregistré.

Je suis partie vers 8h15, mais j’ai oublié d’activer SPOT pour les premières minutes. Le premier repère de la journée est donc le point jaune le plus au Nord, à 8h35. Vous constaterez que j’adopte un rythme de croisière plutôt pépère!  ;D Comme je disais dans la section Présentations, le canot, et la nature en général, c’est assez contemplatif, chez moi. :love:

Alors voici un autre bout de mon aventure. Je suis consciente que je donne beaucoup de détails et qu’à la fin de ce message-ci, je n’aurai atteint que la moitié de la première de 6 journées! Ce ne sera pas toujours passionnant, ce sera bien souvent banal, mais en fait, je vous avoue que j’écris le tout principalement pour mon propre plaisir, pour le plaisir d’écrire et de garder des souvenirs. Et tant qu’à le faire, pourquoi ne pas le partager, si ça peut intéresser quelqu’un… Donc, un bout de la suite :

--------------------------

Je réalise que si j’ai bien en ma possession la carte générale de la réserve et la carte topographique du territoire, j’ai oublié à la maison celle qui indique les aires aménagées pour le canot-camping! Tous en cœur : Bravo Catherine!  ;#

Je décide donc de passer cette première nuit à un endroit que je connais déjà, pour l’avoir découvert lors d’une exploration en voiture. En effet, il est situé au bout d’un petit chemin forestier, qui s’ouvre en une grande aire recouverte de gravier, permettant aux employés de la réserve de faire l’entretien de la petite digue qu’on y retrouve. Ce ne sera pas le site le plus sauvage qui soit, mais au moins, je sais où il est situé. Au cours des prochains jours, je prendrai le temps de retrouver les deux autres sites potentiels en longeant les berges du grand lac aux nombreuses baies.

Cette décision prise, je peux me concentrer sur la joie de pagayer. J’ai retrouvé ma position confortable, mon chien semble à l’aise dans le petit espace derrière moi. J’adopte un rythme de régulier et savoure les mille parfums verts et bleus que me porte le vent. :love:

Au bout d’une heure, je réalise que j’entends, depuis quelques minutes déjà, le bruit d’un moteur. Les variations brusques d’intensité du bruit me font penser qu’il s’agit probablement d’une motomarine. Sans doute des occupants d’un des chalets de la pointe que je longe actuellement. Je grogne un peu intérieurement  >:(  : j’espère que je ne les entendrai pas trop longtemps et surtout, que je ne les croiserai pas! Déjà qu’ils troublent la quiétude des lieux, qu’on me laisse au moins ma solitude! Je sais, je sais… Quand je suis dans le bois, je suis sauvage.

Vingt minutes plus tard, le silence est revenu. Au soupire que je laisse échapper, je réalise que je m’étais inconsciemment crispée. Je me détends et porte mon attention sur le mouvement que fait ma pagaie dans l’eau. Je suis émerveillée par la clarté de l’eau. Je peux encore distinguer le fond à au moins vingt pieds (6-7 mètres, je crois) de profondeur. Elle est tout à fait limpide. J’en prends un peu dans une bouteille de plastique transparent et on pourrait presque croire à de l’eau du robinet! Toutefois, je suis surprise de la monotonie du paysage sous-marin. Très très peu de plantes aquatiques, de roches, de troncs d’arbres immergés. La limpidité de l’eau semblait invitante pour la plongée en apnée, mais il n’y aurait sans doute pas grand-chose à voir. Tout un contraste avec les autres lacs de la réserve, qui grouillent de vie et dont les eaux sont teintées de matière organique.

Deux heures après mon départ, je contourne une longue pointe boisée et mon site de camping m’apparaît, tout au fond d’une baie. Je ne m’y rendrai pas directement, par contre. J’aimerais encore pagayer un peu et je décide d’explorer une autre petite baie. Cette partie du lac est différente de ce que j’ai vu jusqu’à maintenant. La baie est traversée de longs troncs d’arbres couchés et parsemée de souches qui pointent hors de l’eau. Je ralentis le rythme est m’amuse à observer le fond à la recherche de poissons. Je découvre rapidement plusieurs bancs de ménés qui profitent des nombreuses cachettes offertes par les arbres morts.

Tout à coup, une ombre plus imposante se profile sous l’eau, arrivant vers moi. Une grosse truite? Un castor? Quand l’animal est rendu à ma hauteur, j’ai la surprise de constater qu’il s’agit d’un canard!  :blink: On dirait un harle couronné, mais il est rarement illustré avec cette allure dans les guides ornithologiques!  :lol: Il me dépasse rapidement et j’attends, jumelles au cou, de le voir émerger pour l’identifier avec plus de certitude, mais il ne réapparait pas. Quel oiseau discret! Qui aurait cru qu’il faille porter les yeux sous l’eau pour observer des oiseaux qui nous auraient échappé autrement!

Un martin-pêcheur, pas du tout discret, lui, me fait sursauter en lançant son cri de crécelle. En suivant du regard son vol ondulant, mes yeux croisent un autre oiseau, perché à la cime d’une épinette, cette fois. Très probablement un faucon émerillon. Dans les bois, les mésanges à tête brune et les sittelles à poitrine rousse sont les seuls oiseaux à se faire entendre.

Finalement, après quatre heures de canotage depuis mon départ, j’accoste sur la berge de mon site de camping. Mon chien saute du canot avec bonheur, après avoir patiemment attendu mon autorisation.


La digue près de mon site de camping, vue du lac.


La berge vue de la digue. On peut deviner mon canot, au bout de la pointe.

Quant à moi, je me déplie péniblement, après tout ce temps dans la même position. Je soulève mon corps en m’appuyant des bras sur la barre centrale. Je déplie une jambe, ma cheville reste pliée quelques secondes avant de retrouver vie. Je fais la même chose avec l’autre jambe, puis me déplace péniblement vers l’avant du canot avant de passer maladroitement la jambe par-dessus bord. Je me redresse finalement complètement et mon dos proteste douloureusement. Décidément, je n’ai plus vingt ans, et mon surplus de poids, qui empire d’années en années, n’est pas pour aider.  :'(

Il y a quelques grosses roches à escalader pour rejoindre le terrain plat. Je le fais avec précautions, les chevilles, les genoux et les hanches encore un peu ankylosées. J’envie mon chien qui a déjà grimpé en deux bonds, puis qui est redescendu se jeter sur un bout de bois particulièrement invitant dans l’eau, et qui est remonté, puis a fait le tour du site trois fois à la course, en grognant d’excitation, grisé par les odeurs nouvelles et la liberté. Je me sentais moins moche quand j’étais avec mon vieux chien perclus d’arthrose, il me semble…  :-\  ;)

------------------------

Bon! Sur ce, c’est tout pour aujourd’hui! Désolée de ne pas avoir plus de photos...
Everyone must believe in something. I believe I'll go canoeing - Henry David Thoreau

03 octobre 2010 à 04:28:10
Réponse #12

Douinie


@volwest : je compatis  :(  Si j'ai ce jeune chien avec moi cette année, c'est que j'ai perdu ma bonne vieille golden il y a 2 ans, à l'âge de 13 ans. Paix à nos fidèles compagnons!
Everyone must believe in something. I believe I'll go canoeing - Henry David Thoreau

03 octobre 2010 à 11:04:53
Réponse #13

guillaume


Ne te prives pas pour raconter ton aventure hein :up:.

Sinon, la balise spot est-elle compatible avec google earth ?

Merci d'avance :).

a+

03 octobre 2010 à 11:40:48
Réponse #14

jbc


 :doubleup: :doubleup: :doubleup: terrible ! domage que tu n'est pas plus de photos ça fait réver  ;D

03 octobre 2010 à 17:42:30
Réponse #15

Douinie


Merci pour vos commentaires! :)

@guillaume : oui, SPOT est compatible avec Google, Earth et Maps. C'est aussi compatible avec d'autres logiciels de GPS, il me semble. Les données sont tout d'abord reçues par le site de Spot, d'où on peut les télécharger sous 3 formats de fichiers différents. On peut donc ensuite manipuler les données à notre guise. Dans Google Earth, ce que j'adore, c'est enregistrer mon parcours sous forme de "visite", avec un angle de vue très près de l'horizontale. En faisant jouer la visite, on a alors l'impression d'être en canot, en voyant la surface de l'eau, les berges et le relief des montagnes. Évidemment, dans des régions comme la mienne, la définition des images n'est pas géniale, mais c'est suffisant pour faire de beaux souvenirs!
Everyone must believe in something. I believe I'll go canoeing - Henry David Thoreau

03 octobre 2010 à 18:39:24
Réponse #16

Douinie


Comme il est ici question de la balise SPOT, si vous voulez plus d'information à ce sujet, je vous propose de le faire sur le fil de discussion qui lui est spécifiquement dédié, : http://www.davidmanise.com/forum/index.php/topic,3902.0.html

J'y ai d'ailleurs repris les informations concernant SPOT qu'on a abordées ici.
Everyone must believe in something. I believe I'll go canoeing - Henry David Thoreau

03 octobre 2010 à 18:54:20
Réponse #17

volwest


Super témoignage Douinie…

Et oui…Paix a nos amis.

03 octobre 2010 à 19:01:24
Réponse #18

Gros Calou



Mon chien : une femelle pure bâtarde ;-) du nom de Nouka. Récupérée dans un refuge alors qu’elle avait 5 mois, elle a maintenant près de 2 ans. À mon avis, un mélange de golden retreiver, huskie, labrador, berger allemand…   ;)

Et d'amour pour son maître  :love: Elle est magnifique  :love:

Merci pour se partage !

 ;)

03 octobre 2010 à 21:31:36
Réponse #19

marco 2


vivement la suite......et merci du partage....ca fait rêver..... :love:
quand je rentre dans une foret, je pars pas au combat, mais je rentre chez moi
Moniot van moeren

il y en as pour qui le verre est a moitié plein, d'autre pour qui il est a moitié vide......et pour vous?????

 


Keep in mind

Bienveillance, n.f. : disposition affective d'une volonté qui vise le bien et le bonheur d'autrui. (Wikipedia).

« [...] ce qui devrait toujours nous éveiller quant à l'obligation de s'adresser à l'autre comme l'on voudrait que l'on s'adresse à nous :
avec bienveillance, curiosité et un appétit pour le dialogue et la réflexion que l'interlocuteur peut susciter. »


Soutenez le Forum

Les dons se font sur une base totalement libre. Les infos du forum sont, ont toujours été, et resteront toujours accessibles gratuitement.
Discussion relative au financement du forum ici.


Publicité

// // //