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Stages de survie CEETS

Auteur Sujet: Climat: multiplication des événements extrêmes, préparez-vous !  (Lu 3632 fois)

16 novembre 2011 à 14:46:53
Lu 3632 fois

Ishi


Article lu ce jour sur le portail Orange:

Face à la multiplication attendue des inondations, sécheresses ou vagues de chaleur dans les prochaines décennies pour cause de réchauffement, l'humanité doit déjà s'organiser, préconise un rapport d'experts qui doit être adopté vendredi.


 Dans ce rapport, le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (Giec), l'organisation scientifique de référence dans le domaine, souligne que le réchauffement global va intensifier la fréquence et l'intensité des événements météorologiques extrêmes.

"Le type et la sévérité des effets (...) dépend non seulement des épisodes extrêmes eux-mêmes mais aussi de la vulnérabilité et de l'exposition", précise la version provisoire du "résumé pour décideurs" obtenue par l'AFP. Un résumé qui est discuté cette semaine en Ouganda, où le rapport définitif sera présenté vendredi.

Le message a été porté dès lundi au Forum des pays "climatiquement vulnérables" au Bangladesh par le secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon: "Il existe beaucoup de remèdes rentables que les communautés et les pays peuvent prendre pour limiter l'impact des épisodes météorologiques extrêmes."

Au-delà d'un certain seuil, prévient néanmoins le rapport du Giec, les efforts pour s'adapter peuvent devenir insuffisants si les émissions de gaz à effet de serre, à l'origine du changement climatique, ne sont pas contenues.

Pour ce "rapport spécial", une contribution au prochain grand rapport sur l'état du climat attendu pour 2014, le Giec a pour la première fois associé science du climat et gestion des risques dans une même analyse.

Depuis le premier rapport du Giec, en 1990, ces communautés de recherche ont travaillé de façon indépendante. Une ségrégation qui a probablement constitué une erreur, selon plusieurs experts interrogés par l'AFP.

"Les spécialistes des catastrophes ont une expérience majeure qui devrait être une base essentielle pour l'adaptation au changement climatique", estime Tom Downing, à la tête d'une organisation réunissant des experts en adaptation, le Global Climate Adaptation Partnership à Oxford (Grande-Bretagne).

"C'est encourageant de voir le Giec faire avancer cette coopération", ajoute cet habitué du Giec.

"La science n'est cette fois qu'une pièce du puzzle. Les autres pièces ont à voir avec la capacité des gens à résister et à s'adapter", se félicite aussi Will Steffen, responsable de l'Institut sur le changement climatique de l'Australian National University.

Neville Nicholls, professeur à la Monash University de Melbourne et rédacteur purement scientifique, confirme que la coopération "nous a tous renforcés".

"Cela a permis aux scientifiques de se concentrer davantage sur ce dont ont besoin les experts du risque, et ces derniers ont une idée plus claire de ce que nous pouvons, ou ne pouvons pas, leur fournir", note-t-il.

Ce changement d'approche fait suite aux quelques erreurs qui avaient écorné la dernière grande publication du Giec, en 2007. La plupart d'entre elles, portant par exemple sur le rythme de fonte des glaciers de l'Himalaya, était due à cette coordination limitée entre les différentes communautés de contributeurs, reconnaissent certains membres.

Le rapport, tourné vers les solutions à mettre en oeuvre, identifie des actions simples et peu onéreuses, comme des systèmes d'alerte précoce dans les zones concernées par des vagues de chaleur ou des inondations.

Améliorer les règlements d'urbanisme ou les capacités de prévision peut aussi contribuer à sauver des vies dans les régions touchées par des cyclones.

Mais plus on attendra pour lancer de telles mesures, plus elles coûteront cher et perdront en efficacité, prévient aussi le rapport alors que de plus en plus de plans d'adaptation sont lancés à travers le monde pour faire face à cette météo de plus en plus capricieuse.
La terre n'appartient pas à l'homme, l'homme appartient à la terre.

14 janvier 2012 à 11:15:14
Réponse #1

Campeur


Salut Ishi,

je viens de tomber sur ton fil, et je suis vachement surpris qu'il n'y ait eu aucune réponse, rien en 2 mois alors qu'il a été lu plus de 300 fois je crois....

ras le bol de lire des messages d'alerte ?
déjà prêt à affronter la fin d'un monde ?
résigné ?
ce n'est pas de notre ressort ?

Je ne sais pas trop quoi en penser…

Personnellement, je suis survivaliste (oups le vilain mot  ;D) et pourtant je ne crois pas à la fin du monde. Par contre je suis persuadé de la fragilité du notre ! fragile parce que nous le surexploitons, mais également fragile parce qu'il repose sur du sable.
ce sable, c'est l'idée que quoi qu'il arrive, il y aura toujours quelqu'un pour nous tendre la main et nous sortir de la m*rde quelle qu'elle soit... qu’il y aura toujours de quoi, manger, se vêtir, boire au supermarché du coin.

Si les phénomènes extrêmes se multiplient, je doute de la capacité des pouvoirs public à pouvoir secourir tout le monde le cas échéant. Je doute de la capacité de notre système à maintenir les flux tendus qui sont aujourd’hui la base de notre économie… et je dirai même que dans une certaine mesure, ça relève de notre responsabilité.

Actuellement tout fonctionne en flux tendu ! … les dernières grèves conséquentes qui ont bloqué les raffineries, ont eu pour conséquence directe, des ruptures d’approvisionnement dans les stations services, et par effet cascade, des coupures ponctuelles d’approvisionnement de certain supermarchés… et la on préférait crier au scandale « p’tain, il font ch**r ces c**s de grévistes à prendre en otage les citoyens… », plutôt que de s’interroger tout à chacun sur notre capacité à faire face à une rupture d’approvisionnement dans ce domaine.

Dans la même veine :

« En 2003, une coupure de courant massive s'est étendue de New York a l'Ontario au Canada. Plus de 55 millions d'individus ont été affectés par cet événement qui ne dura que 24 heures. (…) Des émeutes éclates ici et la…et au final, les services d'urgences ont répondus a plus de 80 000 appels soit plus du double qu'en temps normaux. »
http://lesurvivaliste.blogspot.com/2010/11/la-coupure-delectricite.html

Je reprends une des tes citations : "La science n'est cette fois qu'une pièce du puzzle. Les autres pièces ont à voir avec la capacité des gens à résister et à s'adapter",
Et c’est bien cela que les situations de crise interrogent, nos capacités de résistance et d’adaptation.

Le problème, c’est qu’on a du mal à admettre (sans générer un peu d’angoisse  :-\) que les services de secours (pompiers, police, hôpitaux…) fonctionnent de la même manière que la majorité de nos réseaux de distribution. Je n’ai pas d’informations précises sur le sujet (chiffre en main), mais il me semble que les hôpitaux, par exemple, n’ont également que quelques jours d’autonomie devant eux. Par ailleurs, lorsqu’une crise frappe, elle frappe sans discernement, les familles de pompier ou du personnel médical comme les autres, ce qui peut provoquer un absentéisme conséquent.

Je ne suis pas dans la critique du système, et son incapacité à me sauver, mais bel et bien dans la reconnaissance de ce qui relève de ma responsabilité.

je pense que se préparer, c’est tout d’abord se poser quelques questions, et ce même dans une situation normale :

Par exemple : Quelle est la distance entre mon domicile et la plus proche caserne pompier – hôpital – police, combien de temps va-t’il leur falloir pour venir jusqu’à nous si nous sommes en difficulté ?
Pour moi c’est 15 à 20 minutes :
   J’ai récemment fait l’acquisition de 2 extincteurs (1maison, 1 véhicule) et je suis formé à leur utilisation
   Je suis formé au premier secours et souhaite approfondir mes compétences dans ce domaine

En étendant ce type de questionnement à l’ensemble des sphères qui assure notre vie (alimentation, hydratation, sécurité, …) on peut établir une préparation sérieuse qui prendra encore plus de sens en situation dégradée.

Des situations dégradées, on en connait de plus en plus, alors pourquoi se préparer au niveau micro (fonds de sac en rando) et pas au niveau macro (fonds de placard à la maison)  ::)

Salut
"Posséder les arts de la paix mais non ceux de la guerre, c'est un manque de courage...posséder les arts de la guerre mais non ceux de la paix, c'est un manque de sagesse" Wang Yang Ming (1472 - 1529)

14 janvier 2012 à 11:20:54
Réponse #2

DavidManise


Ben en fait je pense que tout le monde se prépare un peu dans son coin. 

Perso j'ai 3-4 jours de bouffe d'avance.  De flotte aussi.  Je chauffe au bois, sans besoin d'électricité.  J'ai de quoi cuisiner pendant 3-4 mois avec 2 bouteilles de gaz d'avance...  Bref, sans tomber dans le survivalisme, je suis pas con non plus : je prévois de quoi être autonome quelques jours, à tous les niveaux.

On est en train de bosser sur un stage sur ce sujet là d'ailleurs ;)

David
"Ici, on n'est pas (que) sur Internet."

Stages survie CEETS - Page de liens a moi que j'aimeu

14 janvier 2012 à 15:23:40
Réponse #3

Stephane


Comme David, j'ai toujours de quoi voir venir pour quelques temps.
J'ai ajouté a ca, en cas de besoin prolongé, des semences a pollinisation libre pour le potager. Je cultive peu en ce moment mais m'assure d'avoir suffisamment de semences pour augmenter rapidement la culture et surtout, une bonne variété. J'élève aussi, depuis des années, mes propres poulets. Comme j'ai une race a deux fins, j'ai des oeufs et de la viande du même coup. J'ai toujours une bonne réserve de nourriture pour eux mais, au besoin, ils peuvent vivre pas mal d'eux mêmes, sauf l'hiver d'ou la réserve...De toutes manière, je suis en milieu agricole, là ou les gens ont souvent de meilleures chances de s'en tirer en cas de catastrophe!
Je ne suis pas parano, je ne vis pas dans la crainte mais, au besoin, j'ai un plan de rechange, simplement.
Stephane Deshaies
Estrie, Quebec

Pour conserver la même opinion en politique, il faut souvent changer de parti!

14 janvier 2012 à 15:38:59
Réponse #4

Ishi


En étendant ce type de questionnement à l’ensemble des sphères qui assure notre vie (alimentation, hydratation, sécurité, …) on peut établir une préparation sérieuse qui prendra encore plus de sens en situation dégradée.


Ta phrase me fait penser au livre "survivre à l'effondrement économique" que je viens de finir de lire.  ;)
Steph
La terre n'appartient pas à l'homme, l'homme appartient à la terre.

14 janvier 2012 à 17:32:21
Réponse #5

Campeur


Bref, sans tomber dans le survivalisme, je suis pas con non plus .
David

j'avais cru m'en apercevoir  ;), quoiqu'avec le temps, personne est à l'abri... il est temps que je reprogramme une visite  ;#

Mais ta réponse m'interpelle quand même un peu : "sans tomber dans le survivalisme"... c'est quand même pas une maladie  ::).
jusqu'à ce que je lise les écrits de Volwest, j'en avais eu une vision négative. Depuis j'ai changé d'avis et le vois comme un bon complément à ce que j'ai appris ici depuis plusieurs années.

mais bon, ce que publie Volwest est quand même sacrément plus sain que ce que j'ai pu voir à droite à gauche sur la toile hein !.

Ta phrase me fait penser au livre "survivre à l'effondrement économique" que je viens de finir de lire.  ;)
Steph

je dois me l'acheter prochainement, certains disent que c'est une bonne introduction, mais que pour ceux qui ont déjà potasser le sujet,on apprend pas grand chose de nouveau, qu'en penses tu ?(en mp si tu veux pas pourrir ton fil)

Salut
"Posséder les arts de la paix mais non ceux de la guerre, c'est un manque de courage...posséder les arts de la guerre mais non ceux de la paix, c'est un manque de sagesse" Wang Yang Ming (1472 - 1529)

14 janvier 2012 à 17:45:08
Réponse #6

Campeur


(...) J'ai ajouté a ca, en cas de besoin prolongé, des semences a pollinisation libre pour le potager. Je cultive peu en ce moment mais m'assure d'avoir suffisamment de semences pour augmenter rapidement la culture et surtout, une bonne variété. J'élève aussi, depuis des années, mes propres poulets. Comme j'ai une race a deux fins, j'ai des oeufs et de la viande du même coup. J'ai toujours une bonne réserve de nourriture pour eux mais, au besoin, ils peuvent vivre pas mal d'eux mêmes, sauf l'hiver d'ou la réserve...De toutes manière, je suis en milieu agricole, là ou les gens ont souvent de meilleures chances de s'en tirer en cas de catastrophe! (...)

ça c'est l'étape d'après, je potasse sur la jardinage, mais je suis à peu près aussi doué dans le domaine que dans la bricolage  ;#. en ce qui concerne l'élevage, mes parents ont toujours eu lapins, poules,pigeons... ça me tente bien ! mais ma douce est beaucoup moins conciliante sur le sujet... :sgt:... c'est vrai que quand tu veux prendre un peu de vacances, ça peut devenir compliqué.

Salut
"Posséder les arts de la paix mais non ceux de la guerre, c'est un manque de courage...posséder les arts de la guerre mais non ceux de la paix, c'est un manque de sagesse" Wang Yang Ming (1472 - 1529)

14 janvier 2012 à 17:47:31
Réponse #7

gmaz87


Bjr,
Idem stephane et david, et sans doute Ishi que j'ai cotoyé lors de la sortie Cévennes et qui me semble aussi avoir de quoi se démerder au cas ou...
En fait je pense que la plupart des gens qui sont ici ont de quoi tenir, plus ou moins selon leurs moyens et l'environnement de vie.
Comme stéphane, je vis à la campagne et prévoir est un peu une obligation, ne serait ce que par les distances entre chez moi et les premiers commerces, 6km ce n'est pas le bout du monde mais tu ne vis pas pareil que si il il suffisait de descendre deux étages et d'acheter.
Je ne suis pas survivaliste, encore que ce ne soit pas un gros mot pour moi, j'ai juste de quoi voir un peu venir et de quoi pouvoir jardiner à l'aise au moins deux ans, voire plus en recyclant mes semences, idem pour le blé (j'ai un plan B), un stock de carburant pour le tracteur, le motoculteur, les tronçonneuses etc..
Le reste à l'avenant  ;D
a+
Gérard
Quand le débutant est conscient de ses besoins, il finit par être plus intelligent que le sage distrait.»
(Lao Tseu)

L'ennui naquit un jour de l'uniformité

14 janvier 2012 à 19:57:38
Réponse #8

Campeur



Alors c'est peut être pas une maladie; mais je ferais les mêmes remarque que pour le tireur qui peut pas faire autrement que mettre des patchs à la con sur son brelage à la dernière mode et se branler sur les reportages de guerre parce qu'on voit son flingue préféré :

On a pas les mêmes valeurs et la même définition de l’intelligence, et on est pas copains. ;#

Lawrence

je veux pas me lancer dans : "le survivalisme, c'est pas bien , c'est le mal ... " parce que certains se contentent des 1ères pages de google ou des reportages de TF1... si le survivalisme est une maladie, comment considérer celle qui consiste à collectionner les couteaux, les sacs de rando ou les vestes en peau de superpilou, ou encore à se "branler" devant l'escape cube de son pôte...

sans vouloir rentrer plus avant dans ce type de raisonnement, je pense qu'un survivalisme sain comme celui que j'ai pu décrire plus haut, n'est qu'une manière de se responsabiliser par rapport à son environnement immédiat, tout comme on prend ses responsabilités en préparant son fond de sac, au cas ou un p'tain de brouillard nous cloue à flanc de montagne en pleine nuit.

Pour moi, il n'y a aucune différence, le survivalisme tient juste d'une préparation plus globale.

Après si tu veux pas qu'on soit copain, ben c'est ton choix !

Salut
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15 janvier 2012 à 13:06:54
Réponse #9

VERDUG0


Nos ancetres avaient pour habitude d'epargner des que possible, de facon structuree.

Pourtant c'etait pas des cons, de nos jours faut faire la difference entre ceux qui s'achete des masques a gaz parcequ'une attaque massive terroriste c'est cool, et ceux qui ont envie de s'assurrer une perennite.

J'ai pas de stock de bouffe  :)
Bivouacs et cuisine des bois : https://youtu.be/IxatC2v-X2k

15 janvier 2012 à 13:08:49
Réponse #10

Campeur


(...)
Pourtant c'etait pas des cons, de nos jours faut faire la difference entre ceux qui s'achete des masques a gaz parcequ'une attaque massive terroriste c'est cool, et ceux qui ont envie de s'assurrer une perennite.
(...)
100% TAFDAK ! pas d'amalgame !
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15 janvier 2012 à 13:43:42
Réponse #11

flocondavoine


sans vouloir rentrer plus avant dans ce type de raisonnement, je pense qu'un survivalisme sain comme celui que j'ai pu décrire plus haut, n'est qu'une manière de se responsabiliser par rapport à son environnement immédiat, tout comme on prend ses responsabilités en préparant son fond de sac, au cas ou un p'tain de brouillard nous cloue à flanc de montagne en pleine nuit.

Pour moi, il n'y a aucune différence, le survivalisme tient juste d'une préparation plus globale.

Après si tu veux pas qu'on soit copain, ben c'est ton choix !
On a peut-être pas tous la même définition du survivalisme.
Pour certains c'est juste de la préparation "globale" réfléchie, pour d'autres c'est une mouvance* très particulière.
D'où les probables réserves de certains sur l'étiquette précise "survivaliste".

*MOUVANCE n. f. XVIe siècle. Dérivé de mouvoir.
(...)   Auj. Expr. Être dans la mouvance d'un parti, être sous son influence intellectuelle, politique, se ranger au nombre de ceux qui le soutiennent ou le suivent (...)

15 janvier 2012 à 15:10:47
Réponse #12

Campeur


tu as raison flocondavoine  ;) !

Tout le monde ne range pas les mêmes maux sous les même mots !

Si certaines idées perdurent, ce n'est pas toujours le fait des survivalistes eux mêmes, mais on préfère montrer, parfois voir ce qui est spectaculaire et/ou particulièrement ahurissant plutôt que de s'intéresser aux principes de base.

C'est un peu comme quand on parle de survie autour de soi, les idées perçues se limitent souvent au fait de manger des verres de terres, moins à la règle de trois.

gardons l'esprit ouvert !

quoiqu'il en soit, pour revenir, au sujet d'Ishi, ma préparation à la multiplication d'évènements extrêmes, et surtout à ses conséquences est celle adoptée par la majorité des survivalistes. Elle n'est pas orientée vers un évènement spécifique, mais globale et doit me permettre de subvenir aux besoins de ma famille, sans l'appui des pouvoirs public, pendant un délai plus ou moins long.

le seul truc qui me gêne, c'est que je n'ai pas de combinaison NBC assortie à mon riotgun  ...  ;#, c'est bon je sors !  ;)

Salut
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15 janvier 2012 à 15:21:07
Réponse #13

lelo


... J'ai pas de stock de bouffe  :)
Parce que t'as pas d'enfant..?    ;D


Personnellement je préfère la notion et l'appellation de résilience à celle de survivalisme pour définir cette capacité à "se débrouiller".
"Croyez ceux qui cherchent la vérité, doutez de ceux qui la trouvent." Gide

 


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